les passantes
mettez donc un zeste de clown !
Atout Clowns propose des interventions ou des spectacles de clown acteur social qui apportent dans vos événements public ou privés, dans vos usines, vos bureaux, vos congrès, vos réunions de travail, la ludique légèreté du rire et la bienveillance qui caractérise le regard décalé du clown.
Les passantes passent, se dépassent mais jamais ne trépassent !
Les Passantes c’est un groupe de clownes d’Atout Clowns qui se sont engagées dans le travail du clown acteur social et qui continuent à s’y former.
Les Passantes proposent des interventions de clown acteur social à l’occasion d’événements qui s’inscrivent dans la vie sociale, politique, artistique ou festive d’organismes institutionnels publics ou privés.
Le clown acteur social est une pratique artistique clownesque qui interroge le monde, ses humeurs, ses maladies, ses peines et ses joies, ses façons de fonctionner ou de dysfonctionner. Basée sur le « penser autrement » les clowns acteurs sociaux sont formés pour étudier avec beaucoup de sérieux les propos et contenus des interventions afin de leur permettre de faire « le pas de côté ».
Après plusieurs rencontres avec les organisateurs, nous établissons un devis puis un contrat définissant les conditions matérielles et les tarifs de l’intervention.
Lors de l’événement les clowns improvisent à chaud (en duo) sur ce qui a été dit et vécu par les participants en plusieurs courtes séquences lors de la réunion et proposent une improvisation finale lors de la séance de clôture.
Les Passantes proposent de prendre à bras le corps avec sensibilité et talent la parole et la situation des participants pour permettre à tous d’entrer dans le monde du rire, celui qui fait tomber les frontières et les murs, et redonne à l’individu la conscience de sa présence positive au monde. Ainsi les Passantes révèlent-elles, par le par le rire rabelaisien « la bonne démesure » bien des sens cachés à nous-mêmes.
Le regard du clown pour changer les regards sur le monde
Nous intervenons sur commande en demandant aux « commanditaires » de nous faire confiance.
En général, ils veulent mettre des clowns dans leur programmation mais, dès la première rencontre, on sent bien que ça flippe un peu ! « Alors vous allez faire combien de sketchs, de combien de temps ? Et qu’est-ce que vous allez dire ? ».
Nous répondons que nous ne le savons pas encore et leur rappelons que c’est de l’improvisation dont eux-mêmes et leurs paroles sont justement la matière, et que la seule chose sur quoi nous pouvons nous engager, c’est sur le fait qu’il n’y aura pas de dérision ni de cynisme.
Contactez-nous pour en savoir plus ou pour avoir un devis.
ELLES SONT DEJA PASSEES PAR LA
Des témoignages
CHRU de Montpellier. Aussi au théâtre la Vista/ et aussi à l’espace MINGA.
Nous avons rencontré les associations de parents et d’aidants et, avec eux, nous avons imaginé un dispositif où ils pourraient exprimer ce qui n’est jamais public, ce qui se dit entre soi ou aux réunions de parents, et reste de l’ordre de l’intime.
Nous avons fait une alliance (des parents viennent témoigner sur un espace scénique) et un dispositif spectaculaire et spéculaire (celui de récits de vie et interventions clownesques).
Des témoignages :
« J’ai été impressionnée par la performance des clowns qui ont su saisir des mots pour les détourner et nous faire rire du handicap ». (Béatrice Garcia)
« Il est des instants magiques où les clowns nous embarquent dans un voyage d’humour et de poésie, un voyage qui nous rend plus grands parce que conscients. » (Catherine Tournafol)
« J’adore constater la joie de la personne qui vient de témoigner quand elle découvre ce que les clowns font de ce qu’elle vient de déposer ! » (Anne De Fontenay)
« Merci à toutes celles qui sont venues témoigner et merci aux clowns qui ont exprimé leur empathie, leur tendresse, leur générosité dans leurs improvisations délirantes, toutes justes dans leur subtile distance face à certaines situations parfois douloureuses. » (Francis)
« , j’ai été surprise de leur aplomb. Je les ai trouvées courageuses, audacieuses. Elles ont su rendre par leur improvisation le récit des mamans de façon surprenante et drôle… Alors que le handicap n’est pas toujours facile à aborder. Je me suis sentie très à l’aise et contente de partager ce moment plein d’humanité et d’authenticité » (Véronique)
Aux congrès de l’École Dispersée de Santé Européenne
L’École Dispersée de Santé Européenne est une structure professionnelle de médecins et d’acteurs du domaine de la santé qui réfléchit et tente d’infléchir les pratiques médicales.
« Des clowns pour rendre des médecins malades (de rire) ». Jérôme Pellerin Chef de service en Psychiatrie, Hôpital Charles FOIX.
Soit une vingtaine de médecins soucieux de travailler ensemble à leurs pratiques. Soit deux clowns malins qui se rapprochent de ce groupe. Calculons ensemble la qualité du travail accompli par tous et leurs effets.
Ces médecins ont choisi deux thèmes de travail « la souffrance au travail » et « la variation de leurs actions selon les représentations qu’ils ont des personnes qui les consultent ». Chacun prend la parole tour à tour et s’adresse à tous. Au terme de chaque réunion, les clowns laissent reposer un moment les participants, tête chaude et ils s’habillent et prennent des allures de praticiens.
Les voici qui réapparaissent. Ils ont construit un cabinet médical ou se présentent comme de savants itinérants. Des promeneurs de regard clinique. Des emblousés déambulant… si loin, si proches. Ils nous racontent ce que nous avons dit ou fait. Le ton est à la dérision et à la profondeur. Une activité de sculpteur et de scannériste.
Nous voici maintenant malades, auscultés, questionnés, manipulés. Les termes sont complexes. « L’allocation handicapée » est-elle une propriété ? Sinon pourquoi dire que cette « location » colle autant à l’individu ? Il n’y a qu’à la rendre à défaut de la vendre. Et cette supposition qu’on entend le cœur dans un appareil : n’est-ce pas plutôt sa grand-mère qui bourdonne ?
Nous rions tant qu’il nous faut bien admettre que quelque chose ne va pas très bien. Nous avons laissé quelque chose de nous-même. Un petit bout d’incontrôlable parfaitement maîtrisé par nos soignants d’un jour. Ce travail est fécond. Il nous donne envie de recommencer, de voir encore que nous ne savons rien d’autre que notre désir de bien faire. C’est peu de choses. Il y a tout le reste. L’agressivité inutile, la surprotection trop enveloppante, l’indifférence cruelle.
Âpres chaque session, l’envie est intacte. Ce que les clowns nous disent est qu’il reste toujours, au-delà de toutes les entreprises de bonne volonté, un reste inaccessible… à moins d’en rire. On y découvre ce par quoi nous pouvons avancer : la défaillance de nos certitudes. ».
CHRU de Montpellier et dans le cadre du festival Art des Sens.
Nous avons imaginé un dispositif sous la forme d’une conférence où nous dénonçons les discours scientifiques anciens ou récents qui fondent ou cautionnent les stéréotypes et renforcent les inégalités hommes-femmes.
Dans « Lucy aussi », toute la première partie se déroule dans la grotte (en faisant la part belle aux thèses de Françoise Héritier) : il se trouve que les femmes y inventent entre mille choses, le feu, et les peintures rupestres ! Bien après Nous avons eu le bonheur d’apprendre qu’enfin la science reconnaissait que « les premiers artistes étaient en majorité des femmes » (1). Les clownes d’Atout clowns l’ont démontré avant la parution de l’article. C’est parce que l’art du clown nous permet d’exprimer de notre plein gré l’insu, que nous avons pu devancer cette actualité vieille de plusieurs millénaires.
(1) C’est ce qu’affirme l’archéologue Dean Snow, de l’Université de Pennsylvanie au terme d’une étude scientifique menée dans huit grottes en France et en Espagne.
Le réseau addictions Midi Pyrénées présidé par le Dr Jacques Barsony.
Ce réseau regroupe les usagers et professionnels du secteur Medico-psycho-social de la région Midi Pyrénées qui partagent lors de cette journée les questions du travail social, des troubles de la personnalité, la réduction des risques, les parcours de vie et les représentations en addictologie.
Pôle de Psychiatrie et des Conduites Addictives en Milieu Pénitentiaire.
Témoignage de Suzanne TARLEZ, Cadre de Santé SMPR Muret – Pôle de Psychiatrie et des Conduites Addictives en Milieu Pénitentiaire – CH Marchant Toulouse.
« L’équipe soignante du Service Médico-Psychologique Régional du Centre de Détention de Muret (31) a sollicité ATOUT CLOWNS pour mener ensemble une action d’éducation à la santé au 2ème semestre 2017.
Les différents contacts établis avec l’association ont été riches dans les échanges et ont permis de construire une intervention de qualité, avec un travail important de préparation de la troupe.
À leur arrivée dans le service, nous avons rencontré un groupe dynamique, convivial et impatient de découvrir humainement ce milieu et les personnes qui y sont hébergées.
L’intervention de la troupe ATOUT CLOWNS a suscité un engouement important auprès des détenus qui se sont déplacés nombreux le jour de l’événement. Leur prestation a fait écho à leur situation.
Nous avons également été admiratifs par la qualité, la justesse de leur interprétation. Aussi nous renouvelons notre demande pour une intervention en 2018. »
Association ICHNOS LA TRACE
L’association regroupe des professionnels (psychologues, psychothérapeutes, éducateurs, enseignants) et propose de manière pluridisciplinaire d’étudier et d’expérimenter les liens pratiques et théoriques de l’accompagnement thérapeutique et/ou éducatif dans une dimension créative.